De la Grèce Antique à Saint-Louis

À Athènes, dans la Grèce Antique, 10 avocats étaient déjà chargés de défendre les pauvres devant les tribunaux. À Rome, les avocats et la justice étaient gratuits.

En France, sous Pépin Le Bref et Charlemagne, les juges désignaient des avocats pour ceux qui en avaient besoin. Ils étaient gratuits pour les veuves et les indigents.

Au Moyen-âge, le suzerain aidait sont vassal pour l’assistance en justice et l’Église venait au secours des plus démunis. C’est au 13e siècle que Saint-Louis restaura la prise en charge de l’assistance des indigents par les avocats.

Du 15e siècle à la loi belge

Durant les siècles qui ont suivi, même s’il a été marqué par des hauts et des bas, l’accès gratuit à la justice pour les plus démunis s’est perpétué :

• 15e siècle : création d’une chambre de consultations gratuites pour les pauvres à Paris
  Révolution française : création de bureaux de conciliation pour examiner les affaires des pauvres, les conseiller et les défendre
• Sous Napoléon : institution de bureaux de consultation gratuite au sein du barreau
• 1815 : extension aux provinces belges du système d’assistance judiciaire déjà en vigueur dans les provinces hollandaises
• 1889 : la loi belge sur l’assistance judiciaire gratuite et la procédure gratuite remplace les textes hollandais

Avocat pro deo au cabinet De Springer & Dusausoit

Le cabinet De Springer & Dusausoit prend en charge de nombreux dossiers en aide juridique et épaule ses clients pour la constitution de leur dossier d’aide juridique. Maître Patricia De Springer en a même fait l’une de ses priorités ! C’est un choix délibéré, car le cabinet :

• met un point d’honneur à défendre les personnes les plus fragiles sur le plan social
• respecte le client et fait preuve d’équité dans le traitement des dossiers
• met tout en œuvre pour que ses clients se sentent protégés et défendus

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